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Vers la mi-janvier, j'ai interpellé le Ministre des Finances à propos des problèmes informatiques du SPF Finances à Namur. Tout d'abord, effectuons un petit retour en arrière. Le 22 décembre dernier, une centaine d'agents du SPD Finances ont manifesté leur insatisfaction sur l'esplanade de la cité administrative de Namur durant leur pause de midi. Leur message était assez clair : ils ne voulaient pas d'un retour à l'âge de pierre et voulaient travailler avec des outils informatiques, non pas performants, mais - tout simplement - qui fonctionnent. En effet, depuis des années, le réseau informatique du SPF Finances de Namur "bugge". Mais depuis fin octobre et le passage à Office 365, la situation est catastrophique. Alors que tout se fait via le réseau, il ne se passe pas un jour sans que ce système ne tombe en rade ou soit désespérément lent. 

À 10h30 ce matin, ce sont de jeunes élèves qui ont pris place dans les sièges habituellement occupés par le conseil communal au deuxième étage de l'Hôtel de Ville. Ils sont venus me présenter leur projet "Chemins au naturel". Si, plus tôt dans la matinée, ce sont les classes de 3ème et 4ème de l'école communale que nous avons rencontrées à Sauvenière pour un projet similaire, ce sont -cette fois-ci- deux classes de l'enseignement spécialisé de Gembloux qui ont pris la parole. Ils ont décidé de s'engager avec l'asbl Sentiers.be dans un projet "Chemins au naturel". Leur objectif : adopter un sentier dans le quartier "A Tous Vents".

Ce vendredi matin, le personnel communal s'est rassemblé au Foyer Communal pour la traditionnelle présentation des voeux du bourgmestre. J'ai eu l'occasion de revenir sur l'actualité internationale qui nous plonge un peu dans la déprime. Nous vivons des temps difficiles (Brexit, attentats…), les crises internationales se multiplient, les inégalités se creusent… Au vu de cette morosité ambiance, je souhaite que chacun de nous puisse trouver dans sa sphère privée des éléments de réconfort. Il s'agit aussi, pour l'ensemble des membres de l'administration communale, de nous interroger sur notre responsabilité par rapport à cette morosité et sur le rôle que nous pouvons jouer. En ce qui me concerne, j'aimerais exprimer 4 voeux, sous la forme d'un coup de coeur, un coup de rein, un coup de gueule et un coup de pouce.

© Publi Gembloux

Tradition oblige, le Conseil communal de décembre rimait avec budget. Et celui de 2017 se présente bien puisqu’il affiche un boni de 600.000 € à l’exercice propre. « Le reflet d'une rigueur budgétaire qui nous permet de continuer notre politique ambitieuse au service de la population sans augmenter les taxes additionnelles communales tout en garantissant des finances saines sur le long terme », selon les propres mots de notre échevin des finances, Gauthier De Sauvage. 

Autre sujet important sur la table du Conseil communal de décembre : l’extension du Parc Créalys.  Un projet ambitieux pour l’un des fleurons de Gembloux et, plus globalement, de la Wallonie.  Le projet : 55 ha supplémentaires pour accueillir de nouvelles entreprises.  C’est un projet de longue haleine, dont le principe a été approuvé par le Gouvernement wallon et qui franchi à présent une nouvelle étape : le Conseil communal a été amené à adopter l’avant-projet de plan communal d’aménagement révisionnel pour cette extension.

Le cahier des charges pour l’aménagement d’un parc rue de la Maladrée à Lonzée a été accepté au Conseil communal de décembre.  Le montant estimé de ce projet est de 466.194 €.  En mai 2015, le conseil avait approuvé l'acquisition de deux terrains situés rue Try Ansquet et rue de la Maladrée. C'est sur ceux-ci que sera aménagé le parc. Un beau projet pour un village qui, jusqu'à présent, est dépourvu de ce type d'espace convivial. 

Ce jeudi 15 décembre, j'ai interrogé en séance plénière le Ministre des Finances sur l'impact budgétaire du « redesign » de l'État et sur les frais de consultance y afférents.  Le Gouvernement a d’abord essayé de réorienter ma question vers le Ministre de la Fonction publique, M.  Vandeput, puis vers le Vice-Premier Ministre Jambon, avant d’en revenir finalement à M. Van Overtveldt.  Cette façon de refiler la patate chaude au voisin, c'est un peu l'histoire du sparadrap du capitaine Haddock : tout le monde se le refile, ce qui est assez révélateur de la difficulté de trouver, au sein du Gouvernement, un interlocuteur qui assume la responsabilité de cette fumeuse opération de « redesign ».

Ce jeudi 15 décembre, j'ai interrogé en séance plénière le Ministre des Finances sur l'impact budgétaire du « redesign » de l'État et sur les frais de consultance y afférents.  Le Gouvernement a d’abord essayé de réorienter ma question vers le Ministre de la Fonction publique, M.  Vandeput, puis vers le Vice-Premier Ministre Jambon, avant d’en revenir finalement à M. Van Overtveldt.  Cette façon de refiler la patate chaude au voisin, c'est un peu l'histoire du sparadrap du capitaine Haddock : tout le monde se le refile, ce qui est assez révélateur de la difficulté de trouver, au sein du Gouvernement, un interlocuteur qui assume la responsabilité de cette fumeuse opération de « redesign ».

Une dizaine de pays européens négocient depuis plusieurs années pour mettre en œuvre la taxe Tobin, une taxe sur les transactions financières. D’autres pays, dont les Pays-Bas ou le Luxembourg, ayant refusé cette taxe, la question s'est posée pour la Belgique : allait-elle continuer les négociations ou laisser tomber ? En janvier 2016, la réponse du Premier ministre se voulait claire : la Belgique reste à la table des négociations concernant la taxe Tobin puisque celle-ci fait partie de l'accord de gouvernement. Mais ça, c'était il y a presque un an. La taxe Tobin est de nouveau menacée.

Une dizaine de pays européens négocient depuis plusieurs années pour mettre en œuvre la taxe Tobin, une taxe sur les transactions financières. D’autres pays, dont les Pays-Bas ou le Luxembourg, ayant refusé cette taxe, la question s'est posée pour la Belgique : allait-elle continuer les négociations ou laisser tomber ? En janvier 2016, la réponse du Premier ministre se voulait claire : la Belgique reste à la table des négociations concernant la taxe Tobin puisque celle-ci fait partie de l'accord de gouvernement. Mais ça, c'était il y a presque un an. La taxe Tobin est de nouveau menacée.

Après la Commission européenne, c’est maintenant la Cour des Comptes qui épingle une nouvelle fois le budget fédéral. Faisant fi de ces nombreuses mises en garde, le gouvernement fédéral continue à s’enfoncer dans un aveuglement coupable, préférant étaler ses tensions internes plutôt que de mener des réformes pourtant nécessaires. Selon le rapport de la Cour des Comptes qui prédit de grosses difficultés budgétaires à court terme, c’est près de 10 milliards d’euros qu’il manque au gouvernement pour atteindre les objectifs fixés pour 2019. Pour Benoît Dispa, député fédéral, « le gouvernement ne fait que reporter sans cesse le problème en creusant toujours plus le gouffre budgétaire qu’il a lui-même provoqué ».

Après la Commission européenne, c’est maintenant la Cour des Comptes qui épingle une nouvelle fois le budget fédéral. Faisant fi de ces nombreuses mises en garde, le gouvernement fédéral continue à s’enfoncer dans un aveuglement coupable, préférant étaler ses tensions internes plutôt que de mener des réformes pourtant nécessaires. Selon le rapport de la Cour des Comptes qui prédit de grosses difficultés budgétaires à court terme, c’est près de 10 milliards d’euros qu’il manque au gouvernement pour atteindre les objectifs fixés pour 2019. Pour Benoît Dispa, député fédéral, « le gouvernement ne fait que reporter sans cesse le problème en creusant toujours plus le gouffre budgétaire qu’il a lui-même provoqué ».

Alors même que le gouvernement cherche à combler ses trous budgétaires, il est incroyable de constater que le Premier Ministre qui s’est chargé personnellement du dossier et la Ministre Marghem ont fait un cadeau à Engie-Electrabel qui se compterait en plusieurs millions d’euros. A la lecture du rapport de la CREG, le régulateur énergétique, publié aujourd’hui, nous nous interrogeons : « En 2015, Tihange 1, Doel 1 et 2 ne sont pas taxés avant leur prolongation. Pourquoi et à combien se monte donc le manque à gagner pour l’Etat ? ». On parle de 9 mois hors taxe nucléaire pour Tihange 1. La responsabilité du Premier ministre est clairement engagée sur cette taxe nucléaire qui s’avère juridiquement bancale et dont le montant interpelle.

Le Human Tour sera à Gembloux le mercredi 14 décembre 2016 à partir de 19h à l'Espace Orneau. Le principe ? Une tournée de concerts à Bruxelles et en Wallonie avec comme droit d'entrée, un jouet en bon état qui sera distribué aux enfants à l'approche des fêtes de fin d'année. Cela se fera en étroite collaboration avec les associations locales.

Alors même que le gouvernement cherche à combler ses trous budgétaires, il est incroyable de constater que le Premier Ministre qui s’est chargé personnellement du dossier et la Ministre Marghem ont fait un cadeau à Engie-Electrabel qui se compterait en plusieurs millions d’euros. A la lecture du rapport de la CREG, le régulateur énergétique, publié aujourd’hui, nous nous interrogeons : « En 2015, Tihange 1, Doel 1 et 2 ne sont pas taxés avant leur prolongation. Pourquoi et à combien se monte donc le manque à gagner pour l’Etat ? ». On parle de 9 mois hors taxe nucléaire pour Tihange 1. La responsabilité du Premier ministre est clairement engagée sur cette taxe nucléaire qui s’avère juridiquement bancale et dont le montant interpelle.

Le marché de Noël revient plus développé que jamais à Gembloux. Son nouveau nom : les Hivernales. Et la 1ere édition de ces « Hivernales gembloutoises » aura lieu du 25 novembre au 30 décembre 2016, au Parc d’Epinal ! Au programme : patinoire, brasero, petite restauration, artisanat, sauna mobile, jacuzzi ou bain nordique, nombreuses animations (présence du Père Noël et des « Mères Noël », jongleurs de feu, chants de Noël, feu d'artifice le 25/11 à 19h30.

Nous appelons le gouvernement à enfin cesser ses luttes intestines sur  la réforme de l’impôt des sociétés, l’incitation à l’investissement et la taxation sur les plus-values et à avancer concrètement. Pour rappel, nous avons déposé depuis janvier 2015 une proposition de réforme de l’ISOCpour le faire fondre d’un tiers pour le ramener à 25% pour l’ensemble des entreprises.

Nous appelons le gouvernement à enfin cesser ses luttes intestines sur  la réforme de l’impôt des sociétés, l’incitation à l’investissement et la taxation sur les plus-values et à avancer concrètement. Pour rappel, nous avons déposé depuis janvier 2015 une proposition de réforme de l’ISOCpour le faire fondre d’un tiers pour le ramener à 25% pour l’ensemble des entreprises.

Rappel des épisodes précédents

• Au printemps passé, un cycle de consultations de la population a permis de mobiliser plus de 400 personnes. Il visait à établir un premier « diagnostic » (forces / faiblesses) de l’état global de la commune et à mobiliser la population pour les prochaines étapes de l’opération de développement rural.

Des groupes de travail (GT) thématiques pour des premières idées de projets

• Un cycle de groupes de travail thématiques sera enclenché entre mi-novembre et début décembre
• Leur but ? Déterminer des premières idées de projets concrets que vous voulez voir se mettre en place sur votre commune dans les dix prochaines années.
• Nous vous invitons donc à vous inscrire à un ou à plusieurs de ces groupes en cliquant sur ce lien